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Accueilli à la rentrée 2011 au Réseau Asie et Pacifique (CNRS), puis à la Fondation Maison des sciences de l’homme (2012-2015), le programme Non-lieux de l’exil a été dirigé par  A. Galitzine-Loumpet et A. Nuselovici (Nouss) et, avec la collaboration de la section « Transpositions » du Centre Interdisciplinaire d’Etudes des Littératures d’Aix-Marseille (CIELAM), du groupe de recherche POexil (Université de Montréal) et l’appui du Réseau Asie et Pacifique (CNRS). Il est aujourd’hui dirigé par l’équipe, coordonnée par Alexandra Galitzine-Loumpet.

Carnet de recherche : http://nle.hypotheses.org/

Facebook :  https://www.facebook.com/NonLieuxDelExil/

Qu’ont en commun Ovide et Dante, Edward Saïd et Julio Cortázar, l’artiste ayant fui l’Allemagne nazie ou la Russie stalinienne au siècle dernier et, de nos jours, l’ouvrière mexicaine de Los Angeles, le demandeur d’asile à Rome ou Paris, le clandestin de Calais ou de Lampedusa ? Les causes sont diverses et les circonstances différentes mais ils partagent tous une même expérience, celle de l’exil, que nous nommons « expérience exilique ». La penser permettrait de mieux appréhender les phénomènes migratoires contemporains – le migrant est d’abord un exilé -, et leur devenir dans la durée, l’héritage de l’exil touchant plusieurs générations.